Passionnant mais inquiétant tout ça : on attend la suite.
En particulier il serait intéressant de connaître le niveau seuil de prix du baril en deça duquel cette nouvelle gigantesque usine à gaz capitaliste se verrait désamorcer la pompe à phynances.
On devrait alors souhaiter la « fracturation » des cours de matière première pour déstabiliser la filière : parions que l’instabilité géopolitique maximale du seul Proche-Orient ne vienne apporter l’insécurité économique au système, en faisant alterner à moyen terme pléthore et rareté, contribuant peut être alors à l’élimination de ces dinosaures transnationaux de l’économie des énergies fossiles…